Mes " Love Bonbons "

Quelques réflexions... quelques textes

que j'aime appeler mes pense-intelligents ! 

Que faire avec mes mains ?

- Grand-Maman, que faire avec la souffrance ? 

- Utilise tes mains mon enfant ! Si tu utilises ton mental, la souffrance s’accentue. 

- Mes mains ?

- Oui, oui ! Nos mains sont les antennes de notre âme. 

Quand tu les utilises en cousant, en cuisinant, en peignant, en touchant le sol ou en les plongeant dans la terre, tes mains envoient des signaux d’amour au plus profond de toi et ton âme se calme. Et elle n’a plus besoin de la souffrance pour que tu prennes soin d’elle. 

- Les mains sont-elles vraiment si importantes ?

- Oui, pense aux bébés, ils découvrent le monde en le touchant. Quand tu regardes les mains des personnes âgées, elles t’en racontent davantage sur leurs vies que n’importe quelle autre partie de leur corps. 

Il est dit que tout ce qui est "fait main" est fait par le cœur, parce que c’est vrai, les mains et le cœur sont connectés. Les masseuses le savent. Quand elles touchent le corps de quelqu’un avec leurs mains, elles créent avec cette personne une connexion profonde. Pense aux amoureux, quand ils se prennent la main, ils subliment leur amour. 

- Grand-Maman, depuis combien de temps n’ai-je pas utilisé mes mains de cette façon ?

- Utilise-les, mon enfant ! Crée de tes mains ! Et tout à l’intérieur de toi se transformera ! La douleur ne disparaîtra pas, mais elle se métamorphosera en la plus merveilleuse des œuvres d’art. Elle ne te fera plus souffrir. Parce que tu auras réussi à embellir ton essence."

Elena Barnabé

 

 

 

 

 

 

 

 



Lettre à mon corps

Bonjour mon corps, c’est à toi que je veux dire aujourd’hui, combien je te remercie de m’avoir accompagné depuis si longtemps sur les multiples chemins de ma vie.

Je ne t’ai pas toujours accordé l’intérêt, l’affection, ou simplement le respect que tu mérites.

Souvent je t’ai même ignoré, maltraité, matraqué de regards indifférents de silences pleins de doutes, de reproches violents.

Tu es le compagnon dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi.

Et aujourd’hui, je te découvre, un peu ému avec tes cicatrices secrètes, ta lassitude, tes émerveillements et tous tes possibles.

Je me surprends à t’aimer avec des envies de te câliner, de te choyer, de te faire des cadeaux simples de dessiner des fleurs sur ta peau, de t’offrir Mozart, de te donner les rires du soleil, de t’introduire aux rêves des étoiles.

 

Mon corps, aujourd’hui je veux te dire que je te suis fidèle pas malgré moi, mais dans l’acceptation profonde de ton amour.

Oui, j’ai découvert que tu m’aimais, que tu prenais soin de moi, que tu étais vigilant et étonnamment présent dans tous les actes de ma vie.

Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître, pour me laisser être, pour me laisser grandir avec toi ?

Combien d’accidents as-tu traversé pour me sauver la vie?

Combien d’abandons as-tu accepté pour me laisser entrer dans le plaisir?

Bien sûr il m’arrive parfois de te partager et même de te laisser aimer par d’autres, par un que je connais et qui t’enlèverait bien si je le laissais faire.

Mon corps, maintenant que je t’ai rencontré, je ne te lâcherai plus.

Nous irons jusqu’au bout de notre vie commune...

Et quoi qu’il arrive, nous vieillirons ensemble.

Jacques Salomé

 


La Petite Âme et le Soleil

Il était une fois, au temps d’avant le temps, une Petite Âme qui dit à Dieu : « Je sais qui je suis ! »

 

Et Dieu dit : « C’est merveilleux ! Qui es-tu ? »

Et la Petite Âme cria : « Je suis la Lumière ! »

Dieu sourit d’un grand sourire. 

« Oui, c’est ça ! » s’exclama-t-il. « Tu es la Lumière. »

 

La Petite Âme était si heureuse, car elle avait résolu le mystère que toutes les âmes du royaume étaient venues résoudre. 

« Wow, » dit la Petite Âme, « ça c’est vraiment cool ! »


Je suis la RE...Belle !

Je suis la RE...Belle !

Ce matin, j'apparais dans le jardin et on ne voit que Moi la RE...Belle

Tardive pour une fleur de cerisier et pourtant bien épanouie !

Je savoure l'instant présent,

Je lâche prise sur la compétition puisque je suis la dernière,

Je quitte le troupeau pour laisser place à tout mon être,

Je dispose de la beauté dans mes pensées,

Je mérite les caresses célestes d'un monsieur Soleil timide,

Je suis là, vivante, présente et en pleine santé !

Rien ne peut m'empêcher d'être là, présente à moi, à la nature, à ce monde nouveau... Moi la Re...Belle !

Christine Lamour - 17 mai 2021


Ma liste d'Amour !

Cinquante cinq jours de métamorphose... Un retour sur mon moi intérieur... Un mélange étrange de sentiments : peur, peur de Madame la Mort, étouffement, liberté, de manque de temps... et bien plus encore !

Alors, je prends contacte avec une de mes enseignantes terrestres... C'est bien connu le grand âge donne une regard détaché et plein de sagesse sur le monde actuel.

 

Et là, c'est le moment de travailler sur moi pour comprendre ces hauts et ces bas...  



Le prénom de votre animal est une vibration !

Parfois, je trouve sur les réseaux sociaux des gardiens demandant que l'on trouve un prénom pour leur animal qui va arriver prochainement ! 

Et si, tout comme l'humain, le prénom de votre animal était une vibration qu'il va porter toute sa vie ? 

Et si son âme avait elle aussi un chemin terrestre à vivre en fonction d'une vibration ? 



Comment faire le deuil de mon animal ?

" Le deuil, c’est transformer une présence en absence, 

puis une absence en présence ". 

J.C. Ameisen

 

Lorsque notre compagnon décède, c’est un deuil comparable à celui qui se vit lors du décès d'un humain que nous pouvons éprouver. Très souvent ce chagrin n'est pas toujours bien compris par ceux qui n’ont pas d'animal ou non pas vécu cette expérience. 

Nous avons tous entendu déjà les remarques suivantes : 

" Ce n’était qu’un animal ", " Ca va passer "... 

Les endeuillés se retrouvent bien seuls avec leur peine

et leur désarroi. 

 

Comprendre l'importance de ce deuil, réfléchir à la possibilité de prendre un nouveau compagnon, faire de la mort de son animal une expérience de vie...  

 


à venir

Tamen a proposito, inquam, aberramus. Non igitur potestis voluptate omnia dirigentes aut tueri aut retinere virtutem.